Les tendances montres femmes

Chaumet

Le contraste graphique d’un cadran noir sur une montre-bijou, le concept n’est pas nouveau (Chaumet l’avait d’ailleurs brillamment essayé sur sa montre Boléro). Et pourtant, c’est la combinaison graphique qui nous séduit cette saison à l’image de cette Joséphine Aigrette, où les aiguilles d’or rose se détachent avec allure sur ce fond noir gravé. Ne reste plus qu’à se décider entre un boîtier en or rose, piqué de diamants, ou une version plus sobre – et accessible – en or blanc.

Mille

Déjà repéré chez Hermès sur la montre Nantucket, le bracelet gourmette vient habiller cette saison un autre modèle de taille, la RM 07-01 de Richard Mille. Un effet bijou bien pensé qui vient souligner la force graphique de cette montre en forme de tonneau tout en gardant un poids plume grâce à cet alliage signature en carbone TPT ultraléger.

Dior

C’est le nouveau jeu architecturé que l’on retrouve cette saison aussi bien chez Chaumet que chez Dior. Se débarrasser d’un fermoir traditionnel pour une montre souple et graphique, où le cadran repose à fleur de peau. Une nouvelle signature visuelle qui repousse encore un peu plus les limites entre horlogerie et joaillerie pour un porté au naturel.

Bulgari

Les nouvelles Lvcea de la manufacture italienne Bulgari méritent le coup d’œil. Pour le nouveau cadran en nacre drapée qui vient doter le gros des nouvelles-nées, mais surtout pour ce tout premier squelettage apporté à une montre féminine. Une première qui vient se glisser dans le sillage de la Serpenti Seduttori tourbillon, là aussi pionnière en la matière.

Tissot

Dénicher une alternative viable au traditionnel bracelet en cuir animal, c’est l’obsession actuelle des manufactures en Suisse. Si la maison IWC vient de proposer un nouvel alliage TimberTex pour parer sa montre masculine star Portofino, composé à 80% de fibres végétales naturelles, d’autres comme Tissot sont déjà prêts à se jeter dans la bataille. Pour le reboot de sa montre Memphis des années 80, la maison habille ce cadran arty unique d’un bracelet en cuir synthétique noir interchangeable.

Rado

Un parti pris saisissant tant la maison Rado avait plutôt flirter avec le colorblock dernièrement. En ligne de mire, les courbes rondes de la True Thinline, toujours taillée dans un seul et même lot de céramique, revues et corrigées par la dénicheuse de talents néerlandaise Li Edelkoort.  Le résultat donne une montre apaisante, où la course du temps semble disparaître, comme engloutie par ce paradis blanc.